Quelle différence entre les jeux des années 80 et des années 2000 ?

 

Quand je me souviens de mon enfance, la première chose qui me vient à l’esprit,
ce sont toutes les bandes de copains qui attendaient impatiemment le week-end / les vacances…
Les jeux des années 80 :
Étaient principalement à l’extérieur, 
se faisaient entre bandes de copains,
nous permettaient d’imaginer nos vies meilleures, 
servaient à nous fabriquer nos lieux de rencontre… 
Ces jeux étaient sans aucune crainte car on pouvait sortir jusqu’au soir  » sans inquiéter nos familles « 
Nous apprenaient à faire de nouvelles rencontres
Tous ces souvenirs sont gravés dans mon cœur car ils ont fait celle que je suis aujourd’hui !
Les jeux des années 2000 :
Se font principalement sur internet / en réseaux
Sont à l’intérieur car tous les ados sont connectés ensemble, 
sont beaucoup de jeux de stratégie et principalement en anglais (un plus pour les études)
Peuvent être autant pour les ados que pour les adultes (un père peut jouer en réseau avec son fils sur le même jeu)
Cette différence des jeux d’avant et d’aujourd’hui fait énormément parler le secteur médical (médecins, pédopsychiatres…)
depuis quelque temps car ils pensent que tout ça est peut-être  » un bien ou peut-être un mal  » pour ces enfants…
Ce qu’il faut déjà se dire, c’est que ces ados sont nés avec internet et ne connaissent pas autre chose !
Ce qui est malheureusement d’actualité, c’est qu’avec tous ces problèmes de kidnapping, on a vite peur de laisser nos enfants sortir
dehors trop longtemps et eux à l’inverse de nous, s’ennuient dehors car leurs copains sont tous connectés et les attendent !!!
Une vie différente qu’il faut accepter pour le bien de tous ces enfants car n’oublions pas
que nous n’avons pas été élevé de la même façon  » avant c’était avant  »
Oublions toutes ces barrières par rapport à ces nouveaux jeux et discutons avec ces parents
qui ne sont peut-être pas encore prêts à laisser leurs enfants grandir (avec leurs envies et leurs besoins)
Des lieux existent quand le jeux devient un problème d’addiction et met en souffrance le bien-être de l’enfant ou adolescent
(mon blog partage de bonnes adresses)

 

 

Parfois il vaut mieux les laisser vivre à leur façon, au lieu de les
 » étouffer et les laisser tomber dans des dépressions et maladies d’adolescence «