Mon métier de psychologue clinicienne en libéral,

je me le représente comme un phare dans la nuit noire ou sombre de l’océan.

Mon rôle est d’éclairer les failles, les gouffres, les embûches, les différentes routes,

les limites pour permettre à mes patients de comprendre ce qu‘ il leur arrivent,

de les amener à définir leurs routes et trouver la meilleure solution pour sortir de la confusion

et continuer leur périple au mieux seul ou avec l’aide d’autres intervenants.

C’est de cette façon, par exemple que j’ai accompagné et proposer une thérapie à des enfants en difficulté scolaire,

qui s’enfonçaient et dont les parents ne savaient plus à qui s’adresser.

Les grandes institutions d’aide sociale et de soins prenant en charge aujourd’hui

les problèmes psychologiques très graves mais n’apportent plus forcément leur contribution aux souffrances humaines quotidiennes

qui déstabilisent et effraient.

J’apporte alors mon savoir-faire (pour évaluer, définir une stratégie de thérapie)

et mon savoir-être pour soutenir, dialoguer, se sentir entouré de chaleur humaine et d’ empathie.

Pour mes patients adultes, je déploie les mêmes compétences et principes.

Notre société est devenue de plus en plus individualiste.

Les figures qu’étaient le Maire de la commune, l’instituteur ou le curé n’ont plus la même place

et n’exercent plus le rôle de conseil, écoute et solidarité…

Je crois que les psychologues les ont remplacés avec ce qui fait leur communauté et leur style propre à chacun,

leurs formations universitaires et leur humanité.

FM psychologue